Maison Natale de Saint-Benoit-Joseph Labre - Amettes, France - Childhood Homes on Waymarking.com

Very early on, Benedict dreamed of a life totally given to God. He felt more and more drawn to solitude and prayer. He wants to become a monk. After many unsuccessful attempts, Benedict discovers that the Lord does not call him to live in a monastery. God is waiting for him elsewhere.

Once again, Benoît sets off, but this time for a long pilgrimage. In the various shrines located on his way, he stops for very long moments of prayer.

Little by little, Benoît discovers that his vocation is that of being a pilgrim. Thirsty for God, it is on the road that he meets him. With a stick in his hand and a rosary around his neck, in a life of poverty and prayer, Benoît travels the roads of Europe.

Turned towards God, Benedict's heart is also towards others. Living from day to day, he finds the turn to share the little he has with the poor people around him.

In Rome, where Benoît spent the last years of his life, he was nicknamed "the poor of the Forty Hours"; we find him in adoration in the churches where the Blessed Sacrament is exposed. The Eucharist is at the heart of his life and of his prayer.

On April 16, 1783, Benoît died in Rome at the age of 35. The news spread through the mouths of the children: “The saint is dead! The saint is dead! ” Miracles are immediately attributed to him; they will even contribute to the conversion of John Thayer, a Presbyterian minister.

On February 9, 1873, in the presence of the Holy Father and at his request, Mgr Dominique Bartolini, secretary of the Congregation of Rites, reads the decree announcing the possible canonization of Blessed Benoît Labre. Almost nine years later, on December 8, 1881, Benedict was declared a saint."

The birthplace of Saint Benoît-Joseph, a small country cottage, has become a high place of pilgrimage in Artois dedicated to his memory, bringing together objects that belonged to him.

At the bottom of the sloping meadow and below the church, this artesian house was once covered with thatch and surrounded by agricultural outbuildings arranged in a square thus forming a farmyard.

All that remains today are the main building and a small chapel built on the site of the barn. Going down to the house, there is a magnificent Stations of the Cross, the stations of which are carved in stone.

Inside, furniture and a museography composed of panels explains the life of the Saint. Free visit throughout the year."

Très tôt, Benoît rêve d'une vie totalement donnée à Dieu. Il se sent de plus en plus attiré par la solitude et la prière. Il veut devenir moine. Après de nombreux essais sans succès, Benoît découvre que le Seigneur ne l'appelle pas à vivre dans un monastère. Dieu l'attend ailleurs.

Une fois de plus, Benoît se met en route, mais cette fois-ci pour un long pèlerinage. Dans les divers sanctuaires situés sur son chemin, il s'arrête pour de très longs moments de prière.

Petit à petit, Benoît découvre que sa vocation est celle d'être pèlerin. Assoiffé de Dieu, c'est sur la route qu'il le rencontre. Un bâton à la main et un chapelet au cou, dans une vie de pauvreté et de prière, Benoît parcourt les routes d'Europe.

Tourné vers Dieu, le coeur de Benoît l'est également vers les autres. Vivant au jour le jour, il trouve le tour de partager le peu qu'il a avec les pauvres de son entourage.

À Rome, où Benoît passe les dernières années de sa vie, il est surnommé "le pauvre des Quarante-Heures"; on le retrouve en adoration dans les églises où le Saint-Sacrement est exposé. L'Eucharistie est au coeur de sa vie et de sa prière.

Le 16 avril 1783, Benoît meurt à Rome à l'âge de 35 ans. La nouvelle se répand par la bouche des enfants : «Le saint est mort ! Le saint est mort !» Des miracles lui sont immédiatement attribués; ils contribueront même à la conversion de John Thayer, un ministre presbytérien.

Le 9 février 1873, en présence du Saint-Père et à sa demande, Mgr Dominique Bartolini, secrétaire de la congrégation des Rites, procède à la lecture du décret annonçant l'éventuelle canonisation du bienheureux Benoît Labre. Près de neuf ans plus tard, le 8 décembre 1881, Benoît est déclaré saint."

La maison natale de Saint Benoît-Joseph, petite chaumière campagnarde , est devenue un haut lieu de pèlerinage en Artois dédié à sa mémoire regroupant des objets lui ayant appartenu.

Au fond de la prairie en pente et en contrebas de l'église, cette maison artésienne était jadis couverte de chaumes et entourée de dépendances agricoles disposés en carré formant ainsi une cour de ferme.

Il ne reste aujourd’hui que le corps de logis et une petite chapelle construite à l'emplacement de la grange. En descendant vers la maison, il y a un magnifique chemin de croix dont les stations sont sculptées dans la pierre.

A l'intérieur, du mobilier et une muséographie composée de panneaux explique la vie du Saint. Visite libre tout au long de l'année. "